Je vous entends toutes me dire de prendre du recul.
De me libérer de cette accoutumance qui me brûle.
D’apprendre à vivre seul, de fuir ces aventures que j’accumule.
Pour laisser place à un nouveau chapitre, et remettre à l’heure les pendules.
Mais tu sais, cette fameuse introspection peut faire mal.
Comme une remise à zéro, un dangereux dédale.
Je sais qui je suis, j’appréhende juste de perdre les pédales.
Puis finir à ne plus croire à trouver mon idéal.
Tu vas me dire d’arrêter cette quête du graal.
De lâcher prise, et laisser mon cœur en cavale.
Faire de la solitude une amie plutôt que cette ennemie « cannibale ».
Moi, tout ce que je veux, c’est prendre un vol sans escales.
Ne plus attendre, se détendre, entendre les silences… Je capitule.
Ne pas écouter sans cesse toutes ces idées qui se bousculent.
Zen, soyons zen, un canard dans le café, Zazie fait passer la pilule.
Et moi à 2h du mat, j’ écris ce poème comme un nouveau préambule…
De me libérer de cette accoutumance qui me brûle.
D’apprendre à vivre seul, de fuir ces aventures que j’accumule.
Pour laisser place à un nouveau chapitre, et remettre à l’heure les pendules.
Mais tu sais, cette fameuse introspection peut faire mal.
Comme une remise à zéro, un dangereux dédale.
Je sais qui je suis, j’appréhende juste de perdre les pédales.
Puis finir à ne plus croire à trouver mon idéal.
Tu vas me dire d’arrêter cette quête du graal.
De lâcher prise, et laisser mon cœur en cavale.
Faire de la solitude une amie plutôt que cette ennemie « cannibale ».
Moi, tout ce que je veux, c’est prendre un vol sans escales.
Ne plus attendre, se détendre, entendre les silences… Je capitule.
Ne pas écouter sans cesse toutes ces idées qui se bousculent.
Zen, soyons zen, un canard dans le café, Zazie fait passer la pilule.
Et moi à 2h du mat, j’ écris ce poème comme un nouveau préambule…